femme-infidele
Problème de livraison (histoire vécue mais inattendue)
Le 25/02/2022
Il vient à peine d’arrivé que le patron d’une boite de matériel électronique qui occupe l’immeuble m’appelle dans son bureau :
- « Sonia, j’ai un service à te demander ? »
Il y a de nombreuses années qu’il me connaît, il m’a connu en tant uniquement qu’hôtesse d’accueil et maintenant, il me demande d’organiser les différents évènements dont il a besoin telle que présence lors de salon ou encore réunion et colloque voir même voyage d’affaire. Ici pourtant, c’est un tout autre problème qui le préoccupe.
- - « Je vous écoute. »
- - « Nous avons un problème de livraison qui prend beaucoup de retard et la société qui a passé la commande s’impatiente, pourrais tu les rencontrer pour gagner du temps et
calmer le jeu ? » - - « Ce n’est pas vraiment dans mes attributions ni même dans mes capacités. »
- - « Fais le pour moi, je suis certain que contrairement à ce que tu dis, c’est dans tes
capacités. - - « Ok, je veux bien tenter le coup. »
- - « Très bien, je t’obtiens un rendez vous, tu as carte blanche. »
Quand je sors du bureau, je me demande comment je vais pouvoir convaincre cette entreprise lésée de renoncer à demander des indemnités car c’est bien de cela qu’il s’agit. Après tout, je n’ai rien à perdre, j’ai prévenu et si ça ne marche pas, ce n’est pas moi qui ai demandé à prendre cette responsabilité.
Deux heures plus tard, le téléphone sonne à l’accueil.
- « Voila, tu as rendez vous à 13h00. »
Après avoir précisé l’adresse et quelques arguments technique, le patron raccroche le téléphone, confient en mes capacités.
A 13h00 exactement, je me présente à l’adresse convenue. Une femme d’une bonne quarantaine d’année l’air sévère vient m’ouvrir la porte. Elle est vêtue comme la parfaite secrétaire, tailleur qui arrive juste au dessus du genou, petite lunette ronde et coiffure parfaite. Elle est stricte ce qui contraste assez fort avec ma tenue qui est comme d’habitude sexy et provocante.
- « Vous êtes ponctuelle, c’est très bien. »
J’entre et découvre un grand bureau moderne avec une immense fenêtre donnant une vue splendide sur la ville. Sur la gauche, un énorme miroir occupe presque tout le mur.
- - « Vous vous rendez compte que le retard de fourniture de vôtre entreprise nous met dans une position très inconfortable ? »
- - « Oui Madame et c’est d’ailleurs pour cette raison que je suis présente ici, pour que nous trouvions une solution à l’amiable. »
Je sens le regard inquisiteur de la secrétaire sur moi. Cette femme n’hésite pas à me détaillée de la tête au pied sans la moindre discrétion. Ce n’est pas le genre de chose qui me dérange, bien au contraire, on pourrait même dire que ça m’excite d’être matée de la sorte.
- « Jusqu’ou votre entreprise est elle prête à aller pour régler le problème. »
- « J’ai carte blanche dans une certaine mesure mais je peux toujours les consulter le cas échéant. »
- La secrétaire qui s’approche de plus en plus de moi et n’est plus maintenant qu’a quelque centimètre de moi. Elle est maintenant tellement proche que je sens son souffle sur mes lèvres.
- - « Et vous, jusqu’ou êtes vous prête à aller ? »
- - « J’irais jusqu’ou il faudra pour aplanir ce petit contre temps. » La quadragénaire sourit et pose ces mains sur mes hanches.
- - « Vous allez beaucoup plaire à mon patron. »
- - « Vous croyez ? »
Je ne fait pas le moindre mouvement de recul, je ne suis même pas réticente aux caresses sur les fesses que me prodigue la secrétaire. Maintenant elle me pince les fesses en disant :
- « Vous avez l’air bien foutue, j’aimerais en voir plus. »
Je me recule un peu et détache mon chemisier pour dévoiler ma poitrine nue dessous. La quadragénaire avant une main et caresse mes seins maintenant découvert. L’effet est immédiat et on le constate facilement en voyant mes bouts grossir. Maintenant elle avant sa bouche et les suce doucement tout en passant une main sous ma mini jupe. Elle arrive immédiatement à mon clito qu’elle fait rouler entre ses doigts en même temps. Je me recule un peu pour prendre appuis sur le bureau et ouvre plus grand les jambes. Je sens un doigt puis deux entrer dans ma chatte et s’y agiter frénétiquement jusqu'à me faire jouir dans un petit gémissement de plaisir contenu. Suite à cela, la secrétaire se redresse, me regarde dans les yeux et dit :
- - « Tu aime te faire enculée ? »
- - « Hum oui, j’aime m’en prendre dans le cul. »
- - « Ca aussi ça va plaire à mon patron......Tourne toi. »
Je m’exécute en me cambrant un peu pour bien montrer mon cul moulé dans un petit morceau de tissus que la secrétaire ne tarde pas à remonter avant de caresser doucement mes fesses ainsi dévoilées. Elle les tripote et les écarte pour découvrir ma rondelle offerte. Elle laisse couler de la salive que sens couler jusqu'à ma rosette que je me fait tripoté doucement. La quadragénaire ne tarde pas à foutre un doigt dans mon cul puis un deuxième et à s’y agiter comme elle l’avait fait dans ma chatte. Je ne tarde pas à pousser des petits gloussements de plaisir ce qui provoque une agitation encore plus rapide des doigts qui se trouvent dans mon cul. Je finis par jouir pour la deuxième fois déjà.
- « Reste comme ça, ne bouge pas, maintenant que tu es prête mon patron va arriver. » Je reste sans bouger, le derrière le plus cambré possible, excitée par la situation que je suis entrain de vivre en ce moment. La porte du bureau s’ouvre et c’est maintenant visiblement le patron qui entre. Il a une bonne cinquantaine d’année, un peu bedonnant, des cheveux très court. Il s’approche en détachant son pantalon et sans dire le moindre mot. Il plante sa pine à l’entrée de mon trou du cul et d’un coup sec s’y enfonce sans la moindre délicatesse. En me tenant par les hanches, il m’encule à un rythme de plus en plus soutenu. Il ne dit pas un mot et se contente de gémir à chaque coup de rein qu’il donne. Quand il arrive au bord de la jouissance, il se retire pour se vider les couilles dans un râle de plaisir sur mes fesses dévoilées. Ensuite, sans prendre attention, il abaisse ma jupe sur mon cul souillé et en met forcément plein le tissu.
- - « Je pense que le problème est résolu mademoiselle. »
- - « Merci Monsieur. »
- - « J’écrirais à vos patron pour leur venter votre travail car ce n’est qu’à vous qu’ils doivent cet arrangement. »
Je salue ce patron avec qui il est finalement facile de s’entendre et m’apprête à partit lorsque celui-ci la rappelle :
- - « Vous voyez ce miroir ? »
- - « Oui, il est immense. »
- - « C’est un miroir sans teint, je vous ai regardé avec ma secrétaire. »
- - «Et ça vous a plu?»
- - « Oui énormément tout comme je suis certain que ma secrétaire à aimé me regarder vous enculer. »
Il souriait d’un air extrêmement satisfait de lui-même et des révélations qu’il venait de faire. je n’etais pas vraiment étonnée de cet aveux et en réalité, j'aurais même aimé le savoir avant, j’en aurait peut être même fait encore plus pour les excité tout les deux. Sur le chemin du retour, une pensée me fait sourire : je vient de régler un litige avec mon cul, c’est le moins qu’on puisse dire.
Quand j’entre dans le bureau du patron de la boite d’électronique qui m’avais envoyé à ce rendez vous tout compte fait très excitant, celui-ci m’accueille avec un grand sourire et vient me félicité. Il avait déjà reçu un mail de la part du boss avec qui il avait évité le conflit. - - « Sonia, tu es formidable, tu l’as convaincu, je te revaudrais ça, tu as droit à une belle prime. »
- - « Merci mais ça n’a pas été trop difficile. Quand on est quelqu’un d’ouvert, on s’arrange toujours. »
je savais ce que je disais et ne croyais pas si bien dire. Il faut toujours exprimer la vérité même quand les autres ne s’en rendent pas compte.
un ami de jeunesse
Le 19/02/2022
Je suis ravie d’avoir reçu le coup de téléphone de Denis, un amant de jeunesse qui viens une petite semaine dans la région. Par chance mon mari travaille le samedi matin alors je dis a mon copain de venir a ce moment. je sais que je passerai du bon temps.
Quand j’ouvre la porte 10 minutes après le départ de Patric, Denis se trouve devant moi. Je l’aurais reconnu même 15 ans plus tard. Il est toujours aussi grand, des yeux d’un bleu profond et la même coupe de cheveux qu’a l’époque. En fait, il n’a pas tellement changé a part quelques rides apparues au fil du temps. J’ai mis cette robe moulante pour sa venue. mon copain n’a pas tardé à comprendre le genre de moment que je veux revivre alors il me prend dans ses bras avant même de dire un mot et me roule une pelle dans le hall d’entrée de la maison. Nous nous étreignons quelques minutes avant de décoller nos lèvre et enfin se dire bonjour.
- - « Tu es ravissante, tu n’a pas changée......et de caractère non plus visiblement. »
- - « J’aime toujours autant le sexe, c’est vrais même si je suis mariée. »
En prononçant ces paroles, je pose la main sur le sexe de mon ami par-dessus son pantalon. Les hostilités étaient déjà lancée et je sais aussi qu’il ne faut pas trainer, on a que la matinée pour se faire plaisir. Sans lui proposer de prendre un verre, je l’emmène à l’étage, dans ma chambre. Denis me prend à nouveau dans ses bras pour m’embrassée mais cette fois ces mains sont bien plus baladeuse. Elles remontent le peignoir qui ne cache rien de mon anatomie. Il me caresse en commençant par mon cul qu’il pelote sans vergogne. Il me malaxe les fesses en les écartant. je ne suis pas en reste, je pose ma main sur la queue de mon amant que je masse et que je serre entre mes doigts au travers du tissus tendu. Ensuite, je m’abaisse pour détacher ce pantalon et en sortir une colonne de chair que ne demande qu’a être sucer. Je lèche doucement les couilles de Denis avant de m’attaquer à sa pine que je suce goulument après l’avoir humidifiée de ma langue avide. Je le pompe de plus en plus rapidement en lui malaxant les burnes jusqu’à ce qu’il se retire de ma bouche pour me pousser sur le lit et se jeter sur ma chatte trempée. Il m’ouvre les grandes lèvres pour pousser sa langue dans mon sexe. Il me suce le clito doucement en me mettant un doigt. la tête en arrière je gémis et me trémousse de plaisir quand j'entend une voiture qui s’arrête dans l’allée. Je lui demande de s’arrêter pour écouter plus attentivement et on entend tout les deux la porte d’entrée s’ouvrir. Un vent de panique souffle dans la chambre. Je fais signe à mon amant en silence de se cacher dans l’énorme penderie qui se trouve contre le mur de la chambre. J’entend la voix de mon mari qui m’appelle en me disant qu’il a oublié son portefeuille dans la chambre. J’attrape en vitesse un gode dans la table de nuit et me l’enfile comme si je n’avait pas entendu mon mari arrivé. Quand il ouvre la porte de la chambre, il me découvre couchée nue sur le lit, un vibro dans la grotte de plaisir, occupée à me faire jouir : - - « Hum alors on joue sans moi ? »
- - « Ho, mais qu’est ce que tu fais là ? »
En jouant la femmes surprise, je retire le sexe toys de son emplacement et ferme les cuisses que j’avais grande ouverte quelques secondes avant. Patric me regarde en sourient et détache son pantalon :
- « J’ai oublié mon portefeuille mais je vais remplacer ce truc de caoutchouc avant de repartir. »
Quand il abaisse son pantalon et son caleçon, je constate qu’il bande comme un âne alors je lui fait signe de venir
- - « hum oui, vient vite me baiser avant de repartir, c’est a toi que je pensais. »
- - « Mais j’espère bien ma chérie. »
Il monte sur le lit, je l’attend, les cuisses grandes ouvertes. Il se place et me pénètre d’un coup sec avant d’entamer des mouvements de vas et vient très rapide. Pendant qu’il me baise je gémis très fort et très bruyamment.
- « Vas y, baise moi, défonce moi, j’aime ça, oui plus vite. »
Je criais en prenant ma voix la plus chienne possible.
Denis, debout dans la placard m’écoute, la queue à la main, il bande et se branle en m’entendant me faire baisée par mon mari.
Patric donne des coups de butoir de plus en plus fort et de plus en plus loin puis d’un coup, il éjacule dans mes entrailles. Après m’avoir donné un tendre baiser, il prend son portefeuille et s’en va, me laissant couchée et offerte sur le lit, les cuisses toujours grandes ouvertes. C’est quand il entend la voiture démarrer que Denis sort de la penderie et me voit allongée sur le dos, la chatte dégoulinante du sperme de mon mari. Il est excité par cette vision et vient immédiatement, sans le moindre préambule planté sa queue dans ma moule grande ouverte. Il y entre sans la moindre difficulté et sens le foutre de l’autre homme sortir et couler sur ses couilles.
- - « Tu le faisais exprès de gueuler pour m’exciter, salope va. »
- - « hum oui, a ton tour maintenant, baise moi. »
j’ai la voix excitée et chaude. Une voix d’envie rapide, de besoin même. J’ai jouit une première fois avec mon homme et j’en veux encore avec celui-ci. Je sens qu’il bande dur et j’aime me faire limer de la sorte, de plus en plus rapidement mais j’ai envie de jouir autrement : - - « Tu veux m’enculée ? »
- - « hum tu la veux dans ton cul ? »
- - « Oui, fou la moi dans le derrière, j’adore. »
Denis se retire et je me retourne pour lui offrir une vue imprenable sur ma croupe. Je tortille du cul comme je sais si bien le faire. Il prend avec son doigt un peu de foutre qui s’écoule encore de cette chatte inondée et lubrifie le petit trou dans le quel il met un doigt. Il constate avec plaisir que je suis déjà bien ouverte et prête à encaisser. Il présente son gland à l’entrée de ma rondelle et d’un coup de rein s’enfonce en moi sans ménagement. - - « Tu es encore plus salope qu’il y a 15 ans toi. »
- - « hum oui, défonce moi le cul, vas y. »
Sachant l’effet que produisent mes gémissements et mes commentaires sur mon copain, je ne me prive pas pour en faire et surtout pour gémir très fort. En me maintenant fermement par les hanches, il entre et sort partiellement de mon derrière accueillant. Le rythme s’accélère de plus en plus, lui aussi grogne de plus en plus fort témoignant ainsi de l’imminence de son éjaculation. D’un coup je sens le liquide chaud se répandre dans mes entrailles. Je touche les couilles de mon amant, je les sent plus molles maintenant. Quand il se retire, je m’affale sur le lit. Il ne tarde pas à me rejoindre. On s’observe un bref instant, tout deux comblé du moment de plaisir qu’on venait de passer. Maintenant, nous pouvons prendre un verre ensemble, on a tout notre temps car même si Denis est encore présent quand mon mari rentrera, je pourrai le présenter comme étant un ami de jeunesse, ce qui est parfaitement vrais. Il n’y aura plus à mentir et plus rien d’équivoque. Après avoir évoqué quelques souvenirs, mon copain tient quand même à quitter la maison avant le retour de mon mari. Quand il reviendra dans la région, il ne manquera pas de me contacter pour se retrouver une fois encore dans un moment de plaisir intense mais ailleurs cette fois pour ne plus être interrompu même si cet imprévu a apporté une source d’excitation supplémentaire et a contribué à une jouissance encore plus grande. Il est certain que les risques et le danger provoque une montée d’adrénaline et donne à la jouissance et au plaisir une dimension supplémentaire. C’est probablement le goût du risque en plus de l’amour du sexe qui me pousse dans les bras d’autres hommes régulièrement.
Un petit peu d'exhibitionnismes
Le 14/02/2022
Un collègue de longue date m’avait invité chez lui pour prendre un verre. Bien entendu j’avais accepté avec plaisir et je savais l’idée qu’il avait derrière la tête puisque je l’avais sucé quelques semaines plus tôt et oui avait promis qu’un jour il me baiserait s’il en avait envie. Je pense que le jour est venu et comme on dit : une promesse est une promesse puis j’aime tellement cela que même si je m’y attends je ne refuse jamais une occasion de m’envoyer en l’air.
J’arrive chez lui vers 16h00 dans une tenue sexy bien évidement. Il m’accueille avec un grand sourire, me propose un verre et me fait visiter son appartement. Il habite au premier étage dans un immeuble en carré avec une cours intérieur assez sympa. Tout les appartement ont la chance d’avoir deux balcons, un vers l’extérieur de l’immeuble et l’autre donnant sur cette petite cours. C’est une chance car de ce coté, il y a toujours de l’ombre et cela doit être bien agréable lors de journée bien chaude. Il y a d’ailleurs quelques bancs situé dans la cours témoins des bien fait de son emplacement. Je suppose qu’en plein été il doit y avoir du monde sur ces bancs.
Après avoir fait le tours de son appartement par ailleurs magnifique c’est sur le balcon intérieur qu’on prend notre verre calmement. Je regarde autours de moi, étant au premier étage, je ne vois pas grand choses des autres balcons pourtant pas bien éloigner les un des autres. Ceux d’en face doivent être à une trentaine de mettre tout au plus.
Soudain, je sens Bernard, c’est le prénom de mon collègue, venir derrière moi et doucement il m’embrasse dans le cou. Je me retourne vers lui, le regarde dans les yeux et très naturellement je lui dit :
« je me doutais que tu m’avais invitée pour me baisée »
« tu n’en as pas envie? »
« J’ai toujours envie de me faire baisée tu le sais »
Il me prend par le main et me dit :
« suis moi on va dans la chambre »
« hummmm non, ici, sur ce balcon ce sera mieux »
Il lève les yeux et regarde l’intégralité de l’immeuble de peur être vu certainement puis il me dit en montrant du doigt
« non, regarde au troisième juste en face il y a trois jeunes garçons qui discutent en fumant leur clope »
Evidement je les avais vu et c’est bien pour cette raison que je voulais qu’il me baise ici sur le balcon, je voulais que ces jeunes me matent alors je lui répond :
« ils sont plongé dans leur discutions, ils ne se rendront compte de rien »
Alors j’embrasse longuement et goulûment Bernard en posant ma main sur sa queue par dessus son froc. tout en l’embrassant, je le caresse, le masse et je sens qu’il bande de plus en plus fort alors je détache son pantalon, je l’abaisse et je lèche sa queue longuement. Je lèche aussi ses couilles toutes lisses puis remonte et lèche à nouveau sa grosse bite. Ensuite je commence à le sucer. J’entends ces gémissements de plaisir alors je continue de sucer et sucer encore. En même temps, je jette un regard vers les jeunes du troisième, ils n’ont toujours rien remarqué et discute entre eux. Ca me frustre un peu je l’avoue alors je me place dos contre la rambarde, je pose un pied sur celle ci ce qui a pour effet écarté tres fort mes cuisses et je dis d’une voix assez forte à Bernard :
« Lèche ma chatte »
En raison de son excitation, il ne pense plus aux jeunes du troisième mais quand je me tourne vers eux, je constate qu’ils m’ont enfin entendue et qu’ils matent sans vergogne. Je ne les quitte pas des yeux et je gémis sous les coup de langue de Bernard en me léchant les lèvres de manière sensuelle pour exciter les jeunes qui regardent. Pendant plusieurs minutes Bernard me lèche et me fourre un doigt dans la chatte, je prend mon pied, c’est vraiment bon. Maintenant, je veux qu’il me prenne. Il le sent et me fait me tourner appuyée contre la rambarde.
« Non plutôt la »
et lui montre le coté du balcon. Je m’y appuie, les deux main a plat et le cul bien cambré, la chatte offerte. Je remonte bien ma jupe au dessus de mon cul puis le lui dit avant qu’il ne me pénètre :
« les jeunes auront une meilleur vue si tu me baise comme ca »
Il ne me répond même pas et enfonce sa queue dans ma chatte immédiatement. il commence à me baisé de plus en plus fort, moi je tourne ma tête vers les trois jeunes qui regardent sans en perdre une miette. Je les regarde sans arrêt, ca m’excite de les voir me regarder me faire baisée de la sorte.
Bernard accélère et accélère encore, il me baise de plus en plus fort en me répétant :
« t’es bonne, t’es trop bonne »
Il me défonce vraiment maintenant, je suis entrain de jouir alors je gémis de plus en plus fort en poussant des petit cris et des « oui » de plaisir de plus en plus fort. Nous finissons par jouir ensemble, au moment ou je sens son foutre se répandre dans mon ventre, je jouis encore plus fort et toujours en regardant droit vers les trois jeunes qui a mon avis bandent comme des porcs.
Quand Bernard se retire, je sens le trop plein de foutre couler le long de mes cuisses. Je lui demande si je peux prendre une douche. Il accepte bien évidement. Apres cette bonne douche, je bois un dernier verre avec mon collègue avant de le quitter et de rentrer à la maison encore bien satisfaite.
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A la piscine (histoire vécue ce dimanche
Le 10/02/2022
Le seul sport que je pratique est la natation et encore, de temps en temps. J’en faisait beaucoup plus étant jeune mais de temps en temps, surtout le dimanche matin, j’y retourne. La piscine est ouverte à 9h00 et à cette heure là, il n’est pas rare que je sois seule dans l’eau. C’est très agréable une grande piscine pour moi toute seule. C’est seulement vers 10h30 que les jeunes et les enfants arrivent ce qui rend l’ambiance bien plus bruyante. Ce dimanche n’enfreins pas la règle. Il est 9h05 quand j’arrive au bord de l’eau et j’y suis seule a part un maître nageur qui me regarde m’approcher les yeux rivé sur mes seins. Il faut dire que mon maillot est à l’égal des tenues que je porte en général, sexy voir même provocant. C’est un deux pièces avec en bas, non pas un string car dans la piscine c’est interdit mais une culotte quand même extrêmement mini puisque attachée avec des ficelles sur les côté et le triangle devant et derrière ne cache que le minimum. Quand au dessus, il est lui aussi tout rikiki, voir même trop petit pour mettre en valeur mes seins qui ne sont pas énorme mais d’une taille juste respectable. Le tout est noir et blanc ce qui fait parfaitement ressortir mon bronzage encore présent. Quand je suis dans l’eau, en nageant, je regarde le maitre nageur marcher vers le petit bureau vitré qui se trouve dans un coin.
Après une ou deux longueurs, un homme s’approche du bord de l’eau. Il a une bonne trentaine d’année, l’allure sportive cheveux long. Il m’observe dans l’eau avant d’y entrer dans un plongeon digne d’un grand champion. Il s’enfonce dans l’eau pour en ressortir quelques mètres plus loin et entamer lui aussi une longueur. Je le regarde le dos appuyé et les bras posés sur le bord du bassin. Apres quelques minutes, il s’approche de moi et se présente :
- - « Bonjour, je suis Christian. »
- - « Enchantée, moi, c’est Sonia. »
- On se serrent la main avant que le nageur ne reprenne la parole
- - « C’est la première fois que je vous vois ici. »
- - « Je viens assez rarement mais quand je viens c’est toujours à cette heure ci. »
- - « Moi, je ne viens jamais à cette heure ci en réalité. »
Il s’en suit quelque banalité pendant les quelles Christian s’approche de plus en plus de moi pour presque me toucher. En sentant cette approche, j'avance ma cuisse gauche doucement pour la passer entre les jambes de l’homme qui les plie légèrement pour que son sexe touche ma chaire au travers du fin tissus de son maillot. Lors de se contacte, je sens qu’il bande bien dur alors j’approche ma main qui remplace ma cuisses dans le contacte avec la queue du nageur. Doucement je lui masse la queue par- dessus le petit short de bain moulant. Il se penche vers moi pour me susurrer à l’oreille : - - « Et si on sortait de l’eau ? »
- - « Ce serait peut être mieux car je suis incapable de te la sucer au fond de l’eau. »
- En terminant ma phrase, je pousse sur les bras pour m’extirper hors de l’eau et vais vers la douche des femmes sous le regard de celui avec qui je discutais.
- Christian sort lui aussi de l’eau et file dans la douche des hommes pour me retrouver avant que je ne me rende dans ma cabine. Quand il sort, il constate que c’est moi qui l’attend pour l’emmener dans cette minuscule pièce ou on passe de vêtements à maillot et inversement. Les gens commencent à arriver, des hommes, des femmes, des enfants, des familles circulent librement en maillot. Des portes claquent, des cris et des rires joyeux s’élèvent dans chaque coin des vestiaires. nous savons qu’il faudra être discret.
Dès qu’on se trouvent enfermé dans la minuscule pièce, Christian colle ses lèvres aux mienne, nos langues se caressent, nos salives se mélangent. Les mains du jeune homme s’attardent sur mes seins qu’il sort sans difficulté du maillot. Il les tripote longuement avant de finir par en sucer les tétons sensuellement. Je me laisse faire, profite du moment présent puis me dégage de l’étreinte de cet homme pour m’asseoir sur le petit banc rabattable qui sert aussi de fermeture de porte. Je me trouve maintenant à la bonne hauteur et peut sortir ce sexe qui ne demande que ça. J’abaisse le maillot avant de lécher cette tige dressée. ma langue la parcoure de bas en haut puis de haut en bas en déposant de la salive sur chaque centimètre carré de chaire. Ensuite c’est sur les testicules que je m’attarde pour les gober et branlant d’une main cette grosse bite. Christian se laisse faire en me touchant les cheveux de temps en temps. Il tente de se contrôler pour ne pas gémir, pour ne pas crier des cochonneries. C’est au moment ou j’enfourne sa pine au fond de ma gorge qu’il a le plus de mal à se retenir, quand je le pompe de plus en plus rapidement il sent qu’avec ce traitement, il ne va pas tarder à jouir. D’un coup, il se retire, je comprend qu’il ne veut pas jouir maintenant, qu’il veut me baiser alors je me redresse, lui tourne le dos et me cambre pour qu’il me prenne par derrière. Dans un endroit aussi petit, c’est presque la seule solution puis c’est aussi une des positions que je préfère. Il abaisse doucement ma culotte de maillot puis place son nœud à l’entrée de ma chatte avant de me murmurer à l’oreille :
- « Je vais te baiser. »
Je sens la colonne de chair entrer en moi centimètre par centimètre très lentement jusqu'à la garde puis ressortir et entrer à nouveau mais plus rapidement. Christian prend mes seins dans ses mains et fait rouler les bouts entre ses doigts. Les coups de reins sont de plus en plus fort, de plus en plus rapides. J’ ai envie de gémir, de gueuler qu’il ait plus vite, qu’il soit plus fort. Comme si mon partenaire le sentait, ces mouvements s’accélèrent encore jusqu'à ce qu’il se crispe d’un coup, qu’il ne bouge plus, qu’il reste au fond de mon sexe pour jouir. C’est quand je sens cette explosion de foutre en moi que je jouis à mon tours.
Après un long baisé langoureux, Christian quitte la petite cabine pour récupérer ses habits dans son casier pendant que je reste assise en pensant que j’aimerais garder ce sperme en moi jusqu'à mon retours à la maison puis me faire lécher par mon mari mais malheureusement ce n’est pas envisageable. Peut être une autre fois avec un autre amant.
Le reste de mon dimanche, je le passe en compagnie de mon mari, un déjeuner en tête à tête à la maison.
Chez le garagiste (histoire vécue)
Le 07/02/2022
Le samedi matin quand Patric quitte la maison pour aller une fois de plus travailler un jour de week-end, Il était de mauvaise humeur et triste de me laisser une fois de plus seule un jour de week-end d’autant plus que nous avions prévu d’aller faire du shopping ensemble.
Quand il est parti, je monte dans la salle de bain et me prépare pour aller faire du shopping seul dans une ville voisine.Je n’ai pas très envie de rencontrer des gens que je connais. Après une bonne douche vient le choix de la tenue. Comme d’habitude, elle est très courte et décolletée avec des bas-auto portants et une paire de botte. Je termine de me préparer en me maquillant de manière provocante avec un rouge à lèvre qui me donne une bouche pulpeuse à souhait. Quand je suis prête, j'enfile un long manteau et prend la route. Comme j’ai tout mon temps, je prend les petites départementales pour me balader car même s’il ne fait pas très chaud, le soleil est présent et c’est agréable de rouler sur des petites routes faiblement fréquentées.
Au bout de quelques kilomètres, un bruit strident retentit dans la voiture et une lumière rouge en plein milieu du tableau de bord s’allume puis c’est un message sur l’ordinateur de bord qui apparaît en stipulant qu’il faut s’arrêter dans le garage le plus proche.N’y connaissant pas grand-chose je m’arrête et décide de téléphoner à mon mari. Il me dit que la meilleur chose à faire est de me rendre dans un garage le plus proche possible du lieu ou je me trouve. C’est certainement la chose la plus prudente en effet alors je me met à la recherche d’un garagiste.
Le navigateur m’indique un village un peu plus loin, j’espère bien y trouver un atelier de mécanique automobile ouvert le samedi. Quand j’entre dans le village, il est presque 13h00 et je vois une vieille enseigne rouillée qui témoigne de la présence de l’objet de mes recherches. Je m’arrête dans la court, devant un grand volet sur le quelle une petite affichette précise les heures d’ouvertures. Manque de chance, le garage est fermé à midi. Je sors de ma voiture et me dirige vers la grande porte métallique sur la quelle je tambourine. Au bout de quelques secondes, j’entend une voix qui s’élève à l’intérieur :
- « Ouais, ça va, j’arrive. »
Une petite porte s’ouvre sur le côté et un grand type bedonnant d’une cinquantaine d’année apparaît.
- - « Je suis désolé ma petite dame mais c’est fermé. »
- - « Je sais monsieur mais ma voiture a un problème et je n’ose pas continuer à rouler. » j’ai pris ma voix la plus câline, la plus suave et la plus sexy possible pour mettre tout les atouts de mon côté.
- « Ok, ok, j’ouvre le volet, entré votre voiture, je vais regarder. »
Sans me laisser le temps de répondre, il se retourne et rentre immédiatement en claquant la porte. Le volet se lève ensuite dans un grincement métallique de film d’horreur. Le garagiste apparaît et me fait signe d’entrer ma voiture. A peine suis je à l’intérieur que le grincement recommence. Je sors alors de ma voiture pendant que l’homme me regarde en me souriant pour la première fois.
- - « Je ne voudrais pas que vous tombiez en panne en pleine campagne. »
- - « Je vous remercie, c’est très gentil de votre part. »
Il faisait une chaleur apaisante dans l’atelier. Deux gros poeles se trouvaient de chaque côté et une soufflerie d’air chaud au centre. Le tout avait fonctionné probablement toute la matinée ce qui apportait cette douce chaleur à cet endroit vieillot. - - « Alors, quel est le problème ? »
- - « Je ne sais pas, un voyant est allumé et une indication me demande de trouver un garage dans les plus bref délais. »
Le garagiste s’installe au volant, met le contacte pour voir ce qui se passe et me dit immédiatement :
- « Juste de l’huile, il manque de l’huile dans le moteur, rien de catastrophique tant qu’on en remet, vous avez bien fait de vous arrêter. »
Il ouvre le capot de la voiture et file dans le fond de l’atelier. Pendant ce temps, profitant de la douce chaleur de l’atelier, je détache mon long manteau. Pour la première fois en revenait une cruche à la main, le mécanicien peut voir ma tenue. Par l’expression qu’il a dans les yeux et le petit souffle à peine retenu sortit de sa bouche, je constate qu’il n’est pas du tout indifférent à ce qu’il découvre. Tout en vidant l’huile dans le moteur il prend la parole :
- « Cela aurait été scandaleux de refuser de l’aide à une femme aussi jolie. »
Je ne répond pas à ce compliment mais l’apprécie beaucoup. J’aime plaire aux hommes et leur faire de l’effet.
Après avoir terminé et vérifié que tout est en ordre, le garagiste part se laver les mains. J’attend son retour pour lui demander :
- « Je vous remercie, combien vous dois je ? »
Il s’approche de moi et pose ces mains sur mes épaules par-dessous mon manteau et me dit :
- - « Il n’y a pas d’autre moyen de paiement que l’argent ? »
- - « Je n’ai jamais parlé d’argent. »
J’ai très envie de baiser alors pourquoi s’en priver. Après tout, j’ai là une belle opportunité de prendre mon pied.
Le mécanicien retire mon imperméable et le pose sur le siège conducteur par la portière de la voiture restée ouverte. Sans ménagement, il fourre immédiatement sa main sous ma jupe. Son excitation est a son comble quand il se rend compte que je ne porte pas de tissus pour entraver le contacte avec ma chatte toute lisse. Je pose ma main sur la queue du garagiste par-dessus sa salopette. Je la sens raide et grosse, prête à l’emploie. L’homme détache fiévreusement les boutons pour dévoiler son torse nu puis son sexe dressé. Je sors de mon sac un préservatif que je lui tend et qu’il déballe en tremblant d’excitation. Il m’attrape et me soulève comme une poupée pour me posée assise sur le capot de la voiture. Il m’écarte les cuisses, ce qui fait remonter automatiquement ma jupe puis approche sa queue qu’il enfonce sans ménagement dans ma chatte trempée de désir. Je laisse aller ma tête en arrière, je prend un plaisir énorme à me faire baisée de la sorte. Après quelques vas et vient rapides, le type attrape mon visage entre ses mains pour que je le regarde quand il me dit :
- « J’ai envie de te la carrer dans le cul. »
Il a à peine terminé sa phrase que je bascule en arrière, il me tire vers lui, remonte mes jambes le plus haut possible pour me dégager le cul qu’il caresse avec son pouce. Sans le moindre ménagement, il présente son braquemart à l’entrée de mon anus et me pénètre d’un coup sec.
- « Ho putain de salope, prend ca. »
Il me défonce le cul à grand coup de bite de plus en plus rapide jusqu'à ce que dans un râle de plaisir, il se mette à jouir. Quand il se retire, je regarde cette queue se ramollir doucement avec ce préservatif poisseux qui pend. Je descend de mon capot, m’accroupis pour le retirer puis donne quelque coup de langue à cette bite maintenant toute molle. C’est quand je soulève cette pine pour avoir accès aux couilles que je lèche, que j’aspire et que je gobe qu’il se remet à bander comme un âne. Je prend ce sexe à nouveau bandé dans ma bouche et le suce doucement mais le mécano m’attrape par les cheveux et me l’enfonce au fond de la gorge en me disant :
- « tu en veux encore grosse salope ? »
Il rebande tellement fort que ça en est jouissif pour moi. Il me baise la bouche de plus en plus fort, de plus en plus vite en s’agrippant à ma chevelure. A chaque coup de rein, j’ai envie de vomir tellement il va loin mais ce traitement m’excite. je ne subis cette baise buccale que quelques minutes avant qu’il ne décharge à nouveau en me disant :
- « Tu vas t’en prendre plein la gueule sale pute. »
Je sens le liquide visqueux se répandre dans ma bouche et couler dans le fond de ma gorge pourtant c’est déjà sa deuxième éjaculation en peu de temps. J’avale tout consciencieusement avant de me redressée pour faire face au mécano qui me dit :
- - « Tu sais que tu viens de réaliser un de mes plus grand fantasme. »
- - « J’en suis ravie. »
Je pose un baiser sur la bouche du garagiste avant de remettre mon manteau, de remonter dans ma voiture et de quitter le garage pour rentrer chez moi sans faire la moindre course.
Lorsque Patric rentre à la maison, il me trouve sexy qui l’attend alors il me baise. Il m’avoue qu’il trouve que j’ai le cul bien dilaté. Je lui répond que j’ai eu envie de lui toute la journée et que s’en est la conséquence. Il m’a baisée une bonne partie de la nuit dans tout les sens. Je prend encore mon pied et de temps en temps repense à ce mécano qui m’a défoncée dans la journée. j’aime mon mari mais le cocufier m’excite tellement.
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Je vais de ce pas passer commande dans cette boîte !
Pourvu qu'ils ne me livrent pas dans les délais.
Je saurais être très exigeant pour le dédommagement !
Très jolie photo d'illustration au passage.