Peintre en bâtiment
Le 30/01/2024
Cela faisait près d’un an que mon mari avait demandé à un de ces copains, patron d’une entreprise de peinture en bâtiment et rénovation pour qu’il envoie un de ses hommes pour repeindre un mur de la cage d’escalier de la maison. Quand il lui a enfin dit qu’un de ses ouvriers viendrait aujourd’hui, j'ai bien sur immédiatement accepté et dit que je m’arrangerait pour prendre congé.
Il est 8h30, mon mari est partit depuis une heure déjà quand le peintre se présente à la porte d’entrée. C’est un grand black tout mince, pas un africain mais un indien qui est devant moi. Je lui montre le travail à accomplir puis en sa compagnie choisit la teinte la plus appropriée et que j'aime le plus. Le black se met au boulot dès que j’ai fait mon choix de couleur. j’étais en jeans quand il est arrivé mais vers 10h00, je monte dans la salle de bain pour me préparer à sortir faire quelques courses. Tout en montant à l’étage, je souris gentiment à l’ouvrier en plein boulot puis entre dans ma chambre pour préparer mes affaires. Quand je sors de la salle de bain, je suis prête et parfaitement maquillée. En passant à nouveau près de l’ouvrier en plein travail, je vois son regard se poser sur moi et l’expression de ces yeux combinés à un petit soupir d’admiration me font penser qu’il me trouve plutôt désirable.
- - « J’ai quelques courses à faire, je m’absente une heure, vous n’avez besoin de rien ? »
- - « Non merci madame, ca ira très bien. »
Dès mon retour, je constate que le peintre n’a pas chômé, son boulot est bien avancé, je dirais même presque terminé. Je regarde et le félicite pour la propreté et la minutie avec les quels il fait son travail puis continue de vaquer a mes occupations.
Vers midi, je viens le retrouver pour lui proposer de se joindre à moi pour déjeuner. L’ouvrier accepte avec un grand sourire qui dévoile la blancheur de ces dents qui contraste avec la couleur de sa peau. nous nous installons tout les deux à table et tout en mangeant, nous discutons de choses et d’autres. Adil, c’est comme ça qu’il se prénomme, en profite également pour me complimenter sur la maison pour commencer puis sur mon physique et ma tenue vestimentaire ce qui n’est bien sur pas pour me déplaire. Une manière de draguer comme une autre je pense en le regardant jeter un œil sur sa montre :
- « Je pense qu’il est l’heure de me remettre au boulot. »
Les regards qu’il avait posés sur mes cuisses et sa manière de me complimenter m’avaient donné des envies de baiser mais pour cela, il faut que je prenne les choses en main et que je sois directe :
- - « Avant, je me pose une question depuis longtemps. »
- - « Ha oui, la quelle ? »
- - « La queue des blacks comme vous, est elle aussi bonne que celle des africain ? »
L’ouvrier n’attendait que cela en fait et il se lève d’un bond, immédiatement imité par moi puis il me prend par la taille et me serre contre lui pour que je sente qu’il bande.
- « Si tu veux vraiment le savoir, sort la. »
Je m’accroupis, détache le pantalon de travail de cet homme puis en sort une queue tendue que je caresse lentement. Pour le provoquer, je lève les yeux vers lui et lui dit :
- - « Mwais, ça peut aller mais celle des africains est quand même plus grosse. »
- - « Quand je vais te baiser, tu verra qu’elle te fera jouir salope. »
excitée par cette réponse je prend la queue d’Adil dans ma bouche et le suce avec application. Elle n’est pas vraiment grosse mais elle est longue et dur comme du bois. Je lui pompe la queue en lui palpant les couilles qui elles non plus ne sont pas très grosses mais sont bien pleines. Après l’avoir bien pipé, je prend un préservatif dans mon sac et je lui enfile doucement tout en lui caressant toujours les burnes pour ne pas qu’il débande. Ensuite, je prend appuis avec mes deux mains sur la table de la cuisine pour qu’il me prenne par derrière. Il frotte son gland à l’entrée de ma chatte, le passe entre mes lèvres puis plutôt que de me l’enfoncé, il remonte plus haut et la plante dans mon cul sans le moindre ménagement. Ce fumier est occupé à m’enculer sans même être passé par ma chatte. Il me défonce carrément le cul en me disant : - - « Alors ma queue, elle te convient salope ? »
- - « Hum, oui, oui, encore, continue. »
- - « Petite pute de bourgeoise, je vais t’exploser la rondelle. »
Les coups de rein de l’ouvrier sont de plus en plus forts et de plus en plus rapide, sa queue est parfaite pour une sodomie sans préparation. Je gémis et crie de plaisir. Le type passe sa main entre mes cuisses par devant pour me tripoter la chatte et même me foutre un doigt pendant qu’il m’encule sans ménagement en disant : - - « C’est ca que tu veux salope hein, C’EST CA QUE TU VEUX ? »
- - « OUIIIII »
- - « T’aime ça pouffiasse ? »
Puis d’un coup il se retire, enlève la capote et dit : - « Je veux me vider sur tes nibards. »
Je me tourne vers lui, je m’accroupis en levant mon top pour lui dévoiler mes seins qu’il n’a pas encore eu l’occasion de découvrir totalement. Il se branle rapidement en les regardant et ne met que quelques secondes à jouir. Le liquide tiède sort en saccade de la queue du peintre pour s’écraser sur mes nichons , je l’étale en me caressant lentement. Cette vision excite cet homme qui vient de jouir.
Heureusement que le travail était bien avancé et qu’il ne lui restait plus grand chose a faire. Quand il a quitté la maison, il m’a remercié pour le déjeuner et surtout pour le dessert qu’il ne sera pas prêt d’oublier.
Sans commentaires, plus de blogs
Le 28/01/2024
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une représentante autoritaire pour vos commentaires
Le 27/01/2024
Je suis à l’accueil aujourd’hui ce qui signifie, une journée plutôt cool. J’ en profite parfois pour faire mon boulot de responsable d’évènement mais ce n’est pas toujours facile car je suis souvent interrompue par des visiteurs ou des représentants en visite dans l’une ou l’autre entreprise qui occupent l’immeuble et qui pour la plus part emploie m’emploie pour leurs organisations exceptionnelles quelles qu’elles soient.
Je suis occupée faire des recherche sur internet quand une femme d’une quarantaine d’année se présente devant mon comptoir.
- - « Bonjour, je cherche le bureau de Monsieur Placard ? »
- - « Cinquième étage, au fond du couloir sur la gauche puis dans le deuxième couloir
troisième porte à droite. » - - « Ca m’a l’air bien compliqué, vous pouvez m’y conduire ? »
- - « Si vous voulez. »
Je me lève et passe de l’autre côté. Je remarque de suite le regard que la déléguée commerciale me porte. Evidement ma tenue est comme d’habitude sans équivoque, très courte et sexy. La femme que j'emmène vers le bureau de Placard est quand à elle plus sobre. Un tailleur noir avec une jupe droite lui arrivant au dessus du genou, un petit chemisier blanc, tout ce qu’il y a de plus sobre. Elle était assez grande, plus grande que moi, cheveux châtains clair assez long avec une queue de cheval. Elle avait aussi une paire de petite lunette argentée. C’est une belle femme mais trop sage a mes yeux.
Pendant le trajet qui l’emmène vers le bureau de celui avec qui elle a rendez-vous, la représentante ne cesse de mater mon cul. Lorsqu’elle arrive devant le bureau en question, elle me dit qu’elle me retrouvera après son rendez- vous car elle a un renseignement à me demander. Je lui répond avec un sourire très coquin voir même cochon comme j’en ai le secret et que j’applique presque systématiquement maintenant avec tout le monde : - - « Je suis à votre disposition dans le hall madame. »
- - « Alors ça, c’est bon à savoir. »
Cette réponse me trouble et je me demande ce qu’elle veut dire par la. En retournant à mon poste, je me pose des questions sur cette femme à l’allure et au comportement plutôt autoritaire. Etant bisexuelle, les femmes qui m’attire sont toujours autoritaire voir même très dominatrice. Avec les hommes c’est aussi de cette manière que je prend le plus mon pied mais je sais aussi le prendre en inversant les rôles ce qui est nettement moins le cas avec les femmes.
Une heure plus tard, la femme redescend et se dirige d’un pas décidé vers l’accueil. Je la regarde venir vers moi avec un sourire. Quand elle arrive à ma hauteur, la déléguée commerciale s’adresse à moi froidement et sur un ton autoritaire : - - « Ou sont les toilettes ? »
- - « Il y en a dans le fond du hall ou au sous sol madame. »
- - « Alors vous allez m’y conduire. »
- - « Oui madame. »
Cette réponse suffit à la représentante pour se rendre compte que je suis plutôt soumise quand à moi, je ne suis pas dupe et je sais que les réponses formulées telle qu’elle laisseraient transparaître une certaine soumission. Quand on arrive dans le couloir, la dominatrice prend la parole directement et sans aucun respect:
« C’est pour allumer les mecs que tu te fringue comme ça ? »
« Pardon madame ? »
« Je te demande si c’est pour allumer que tu te fringue comme une salope ? »
« Mais enfin madame, je ne vous permets pas. »
Je sais très bien que je provoquerais la colère de la femme en lui répondant de la sorte et c’est en effet ce qui arrive. La représentante s’approche de moi et m’attrape par les cheveux, elle tire ma tête en arrière puis approche son visage très près du mien. Ces lèvres sont presque posées sur les miennes et je sens son souffle chaud sur mon visage et elle me dit :
- « Tu n’a rien à me permettre, tu as compris salope ? »
Je lui fait signe « oui » de la tête alors la quadragénaire me prend fermement par le bras et m’attire dans une des toilettes. Elle pose un pied sur la cuvette en remontant sa jupe puis elle écarte son string pour me dévoiler une chatte dégoulinante et parfaitement taillée. Elle me regarde dans les yeux et m’ordonne :
- « Lèche maintenant. »
Je m’accroupis et pose ma langue sur le sexe de cette femme. je passe ma langue entre les lèvres charnues puis s’attarde sur son clitoris que je suçote doucement. La déléguée gémit sous les caresses que je lui prodigue avec ma langue. Elle passe sa main dans mes cheveux puis d’un coup les serre dans ses doigts et attire mon visage encore plus vers sa chatte comme si elle voulait enfoncer toute ma tête dans son vagin. Je m’active avec ma langue que j’enfonce le plus loin possible dans la chatte de cette femme pour la faire jouir. A ces gémissement, je me rend compte que ca ne va pas tarder alors je redouble d’application jusqu'à ce que je sente les muscle de la déléguée se relâcher. Elle venait de prendre son pied sous mes coups de langue. Elle me redresse avant de me dire :
- - « C’était bon, tu as bien travaillé. »
- - « Merci Madame. »
- - « Donne-moi ton numéro de portable. »
Je m’exécute et le note sur un petit bout de papier que j’ai dans ma poche :
- « Je t’appel quand je reviens dans la région et tu as intérêt à être disponible, je ne serais plus aussi gentille qu’aujourd’hui. »
je suis encore toute excitée par ce que je viens d’entendre. Il faut aussi avouer que à part donner du plaisir et être excitée d’être dominée, je n’avait pas reçu beaucoup de jouissance de mon côté.
Heureusement je reçoit un message de mon mari qui m’annonce que contrairement à son habitude, il sera de retours assez tôt aujourd’hui. Je vais rentrer avant lui comme d’habitude mais dès son retour je lui sauterai dessus pour qu’il me baise et calme les envies que j’ai.
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En compagnie
Le 25/01/2024
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le jeune frère de mon mari
Le 24/01/2024
Patric avait invité son plus jeune frère Christophe à passer à la maison le jour de son anniversaire. Il fête ces 25 ans et pour l’occasion, mon mari voulait qu’il vienne manger un morceau de gâteau le jour J. Evidement et comme la plus part des hommes, il avait oublié de m’en parler et c’est très surprise que j’apprend en rentrant du boulot que vers 19h00, mon jeune beau frère vient à la maison. Comme mon mari est présent, ma jupe est moins courte que d’habitude et mon décolleté moins profond. Je me contente d’être sexy mais pas trop.
A l’heure prévue, le jeune homme se présente à la porte et c’est Patric qui va lui ouvrir pendant que je m’affère dans la cuisine pour préparer un repas digne de ce nom. Les hommes s’installe dans le vieux canapé, une des dernières fois avant que le nouveau ne soit livré et je leur apporte un petit verre d’apéritif. Je remarque que Christophe me regarde attentivement, surtout quand je remplis les verres. mon mari étant en face de lui ne sait rien remarquer heureusement. Je retourne dans ma cuisine pour continuer les préparatifs improvisés lorsque je me rend compte qu’il n’y a plus de sel, ingrédient primordiale dans toutes préparations. Je retourne dans le salon pour en faire part à mon homme qui me dit aimablement qu’il va se rendre en ville en chercher dans un magasin de nuit. Il en profite pour demander à son frère s’il veut l’accompagné mais celui-ci refuse gentiment en argumentant qu’il préfère continuer à siroter son apéro tranquillement. Christophe sait que Patric en a au moins pour une bonne demi-heure avant d’être de retours alors dès qu’il est parti, il vient me retrouver dans la cuisine :
- - « J’ai remarqué tout à l’heure que tu ne portait rien sous ta blouse. »
- - « Et moi j’ai remarqué que tu reluquait. »
Le jeune homme n’était pas du tout décontenancé par ma réponse. Au contraire il se rapproche encore plus de moi et sachant que le temps lui était compté, il sait qu’il ne doit pas trainer s’il veut tenter quelque chose. Il se colle à moi tournée vers mon plan de travail en me mettant la main au cul :
- « Tu as aussi un cul magnifique. »
Je mouillait en sentant la grosse queue raide de Christophe plaquée contre mes fesses. Je me tourne vers lui et sans avoir le temps de dire un mot, les lèvres du jeune homme étaient déjà collées aux miennes. D’une main, il remonte ma jupe et fourre immédiatement deux doigts dans ma chatte nue et trempée. Tout en me caressant la langue avec la sienne il trifouille mon sexe avec ardeur. Ces doigts s’agitent de plus en plus frénétiquement et ma respiration s’accélère jusqu'à ce que je jouisse. Ensuite, il pose ses mains sur mes épaules et me dit :
- « Maintenant, tu va t’occuper de moi. »
Sans rien répondre, je m’accroupis en lui offrant une vue de ma chatte grande ouverte et je sors du jeans de Christophe une belle grosse queue aussi raide que tu bois. Je la lèche sur toute sa hauteur avant de redescendre pour s’attarder avec ma langue sur les burnes du jeune homme. Pendant que je lui lèche les couilles, je le gratifie de mouvements de vas et vient avec ma main bien enroulée autours de sa tige. Je m’arrête quelques secondes pour le regarder dans les yeux et lui demander :
- - « Alors c’est bon ? »
- - « Ho putain oui c’est bon, continue, pompe moi. »
Je reprend la bite de mon beau frère dans ma bouche et entreprend une fellation dont j'ai le secret. Christophe gémit en me caressant les cheveux. Je sens qu’il ne tardera pas à jouir et c’est tant mieux car j’ai un œil sur l’horloge de la cuisine et constate que mon mari est parti déjà depuis près de 30 minutes. J’accélère le mouvement de plus en plus en lui palpant les burnes quand d’un coup je sens un liquide chaud se répandre dans ma gorge. Je me régale de ce divin nectar que j’avale jusqu'à la dernière goutte pendant que mon beau frère gémit bruyamment. Je me redresse ensuite et lui roule une pelle avec un peu de sperme que j’avais pris soin de garder dans ma bouche pour le partager avec son propriétaire.
Quand Patric est rentré, Son frère se trouvait toujours assis là ou il était quand il était parti mais avec le verre plus remplis et moi assise sur une chaise de la salle à manger. Tout deux étions occupé à discuter de choses et d’autres, des banalités de la vie. j’avais pris soin de me laver les dents pour éviter que mon mari ne sente peut-être le gout de foutre quand il m’embrasserait à son retour. Grand bien m’en a pris puisque c’est la première chose qu’il fait quand il rentre, un doux et long baisé.
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Belle recompense pour son travail !
Avec tous ces textes aussi excitants, on aimerait te voir en photo nue et en train de sucer ou de te faire prendre. J'espère que tu ne nous décevra pas!
Tu n'as plus envie de nous faire bander?
Tu es bonne à baiser !
A très vite!!!!!
T'ai en panne d'imagination?
Moi aussi je veux bien passer chez toi pour ramoner ta cheminée ! Tu dois être bonne, par contre je n enculerai pas le gros !!
Dis moi tu m'a l'air d'être une chaudasse !
La première queue qui passe à côté de toit et tu as le cul à l'air !
Prête à te faire déglingué !
Le gros porc sur la photo c'est lui le cocu ?!!