femme-infidele
rencontre en boite
Le 01/05/2022
Je suis encore seule ce soir, Patrick est au foot, il a été invité par une firme avec la quelle il travail régulièrement alors ce genre d’invitation ne se refuse pas surtout pour un amateur de ce sport.
Heureusement, Zénon, un copain m’a proposé de sortir danser ce soir. J' en ai parlé à Patrick et comme il connaît Zénon, il ne voyait pas d’inconvénient à ce que je sorte avec lui pour aller danser.
Je me prépare quand mon mari est parti. Je m’habille de manière super sexy car j’ai encore envie de faire bander des hommes ce soir. Il est probable que mon mari sera encore cocu ce soir, une fois de plus. Je tente quelques minutes de compter le nombre de fois qu’il a pu l’être mais je renonce très vite devant l’ampleur de la tâche qui m’attend si je m’acharne a vouloir comptabiliser mes amants d’un soir.
Il est 21h00 quand mon ami se présente à ma porte pour venir me chercher. Quand je lui ouvre, le jeune homme ne peut s’empêcher de lâcher un « ho putain » d’admiration devant ma tenue. C’est vrai qu’avec ma jupe super courte, mes bas, mes bottes hautes et ce petit trop qui en dévoile plus qu’il n’en cache, je dois être vraiment hyper bandante et je le sais. Je sais aussi que même s’il ne fera probablement rien, Zénon va bander toute la soirée en me regardant me faire matée, me faire draguée voir peut être même plus mais ça, il est peut probable qu’il le voit.
Arrivé sur place, c’est certain que ma tenue vestimentaire fait sensation, les regards lubriques et les commentaires cochons plus ou moins discret fusent de toute part ce qui a pour effet de m’exciter. Accompagnée de mon cavalier, je m’installe à une table réservée et je prend un verre puis deux puis trois et enfin monte sur la piste pour me trémousser seule devant Zénon qui m’admire. Seule, je ne le reste pas longtemps, juste quelques minutes puis une bande de mâles en chaleurs viennent vite m’entourée pour danser a mes côtés. Pendant que je me tortille sur la piste, je remarque deux femmes d’une petite quarantaine d’année installée à une table dans un coin éclairé par une petite lampe de chevet. Ces deux inconnues m’observent avec un regard encore plus vicieux et pervers que les mecs. C’était assez troublant mais aussi très excitant ce regard dans les yeux des femmes. L’une d’entre elle, celle qui avait l’air le plus sévère me fait un petit signe du doigt pour me demander de venir vers elle. Je m’arrête de danser et me fraie un chemin au grand désespoir des hommes qui m’entourent. J’arrive près de la table des deux femmes qui se présentent immédiatement.
- - « Bonsoir, je suis Carole »
- - « Et moi Mélissa. »
- - « Bonsoir, moi c’est Sonia »
Comme je l’avais vu depuis la piste les deux femmes devaient avoir une petite quarantaine, celle qui se prénommait carole avait un regard assez sévère mais elle était sexy, elle avait les traits fin et était vêtue visiblement d’un tailleur pantalon. Elle avait de longs cheveux chatains et était coiffée d’une queue de cheval. L’autre, Mélissa était visiblement un peu plus jeune, elle portait quand a elle un chemisier assez strict et une longue jupe de cuir noir.
Pendant une seconde je me tourne vers Zénon qui m’observe depuis sa place, en fait il occupe une place de choix pour voir tout ce qui se passe a cette table.
C’est Mélissa que prend la parole :
- « Viens t’installée entre nous Sonia. »
Carole se recule un peu et me laisse une place alors je m’installe un peu timidement entre ces deux inconnues. La voisine de banquette a queue de cheval passe son bras derrière mon cou avant de se pencher vers moi en me regardant droit dans les yeux. Ces lèvres s’approchent a quelques centimètres de mon visage
- « Alors, on vient faire sa petite pute sur la piste ? »
- - «Pardon?»
Je suis assez surprise d’une question aussi directe de la part de cette femme mais j’en suis aussi assez excitée. Je ne lui ai pas encore répondu que je sens une main m’agripper les cheveux et tirer ma tête en arrière. C’est maintenant le visage de Mélissa, les dents serrées et l’air rageur qui est devant le miens.
- « Carole te demande si tu viens faire la petite pute sur la piste ? »
Je me contente de faire un petit geste de la tête toujours maintenue en signe d’approbation. Je sens la main de Carole se poser sur ma cuisse qu’elle caresse en remontant vers mon entre jambes
- « Ecarte tes cuisses salope. »
Je ne me fais pas priée et doucement ouvre les jambes. Je sens les doigts de Carole qui s’insinue doucement dans ma petite fente.
- - « Elle est trempée cette petite pute, je pense qu’elle aime ca, on va se régaler. »
- - « Tu étais venu pour te trouver une bite et tu as dégotté deux maitresses qui vont s’occupé de toi ma belle. »
Les deux femmes avaient maintenant les mains plus baladeuses sur mon corps. Elles me caressent, me pelotent, me pincent même parfois. Je lève les yeux vers mon copain comme pour lui dire que tout va bien au cas où il s’inquiéterait mais ce n’est visiblement pas le cas. Il se contente d’observer le manège une main dans la poche et je le soupçonne de tripoter sa pine. Ce salopard est occupé a se branler en me matant me faire maltraitée par ces deux inconnues. Il est aussi vrai que Zénon me connaît et qu’il sait que je prend mon pied dans ce genre de situation.
Une petite demi-heure se passe pendant la quelle je suis trempée d’excitation puis c’est carole qui dit a sa copine :
- « Alors, on y va ? »
Elles me prennent toutes les deux par le bras et sans vraiment me demander mon avis m’emmènent à l’extérieur. Il est évident que je n’ai vraiment d’autre choix que de les suivre mais je ne me sens pas vraiment forcée, j’ai très envie de continuer ce petit jeu. on s’avance vers un gros 4X4 noir stationné dans le parking. Je monte à l’arrière et les deux autres à l’avant.
- « On n’habite pas loin, dans dix minutes nous seront arrivées. »
En effet quelques minutes plus tard, le véhicule s’arrête devant une grande grille qui s’ouvre électriquement puis s’enfonce dans une petite allée d’une cinquantaine de mètres avant de se garer devant une jolie maison ancienne.
Quand j’entre dans la maison et que les lumières s’allument, je constate qu’elle est décorée avec beaucoup de gout mais les deux autres femmes ne me laissent pas admirer la déco, elles me prennent par le bras et me poussent dans le salon.
- « Assied toi. »
je m’installe dans un grand divan de cuir blanc. Je regarde autours de moi pendant que Mélissa et Carole s’absentent quelques minutes. La décoration du salon est à la fois classe et érotique avec des objets et des sculptures dédiées à la volupté et à la sensualité.
Quand les deux femmes reviennent, je me rend de suite compte que je vais déguster mais dans le bon sens du terme. En effet, les deux inconnues jusqu’il y a peu sont nues et porte chacune un gode ceinture autours de la taille. L’un est blanc et l’autre est noir et de très belle taille. Elles s’approchent de moi l’air sévère puis Carole me dit :
- « Suce salope. »
Elle m’attrape par les cheveux et m’enfonce son gode ceinture noir dans la bouche. Elle fait des mouvements de bassin comme si elle voulait baisée ma bouche si bien qu’elle en arrive presque a m’étouffée tellement l’objet entre loin dans le fond de ma gorge. Pendant ce temps la, Mélissa me déshabille sans le moindre ménagement avant de prendre la parole :
- « Maintenant agenouille toi salope. »
je m’exécute et me retrouve à nouveau avec le gode noir dans la bouche pendant que l’autre femme me lèche la chatte trempée de désirs. Il n’a fallu que quelques courtes minutes avant que l’objet blanc se plante dans ma chatte et que celle qui le porte me file de grand coup de rein puis elles changèrent les rôles encore et encore pendant près d’une heure entière je prend des coups de gode violent dans tout mes orifices. Même mon cul y passe sans le moindre ménagement. Je prend mon pied plusieurs fois, il n’y a pas a dire mais ces deux femmes savent s’y prendre pour me faire jouir, elles m’épuisent littéralement avant de me laissée dans le canapé pour que je les regarde s’occupé l’une de l’autre. Autant il y avait de la brutalité quand elles me baisaient, autant il y a de la douceur et de la tendresse en elle. je comprend qu’elles s’aiment vraiment et qu’elles avaient juste envie de plaisir charnel et de domination envers une autre femme.
Lorsque je quitte la pièce après m’être habillée, les deux femmes ne se rendent même pas compte de mon absence. Je sors de la maison et téléphone à Zénon pour qu’il vienne me recherchée. En effet quelques minutes seulement après l’avoir contacté, la voiture de mon copain est devant la grille. Celui-ci ne me pose aucune question sur le trajet du retours mais il voyait a l’expression de mon visage et aux cernes qui le couvre que j’ai du prendre un pied d’enfer.
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Lae parking sous terrain
Le 27/04/2022
Nous sommes vendredi, j’ai fini journée et le frigo de la maison est vide. Il est presque 19h00 et je me précipite vers une grande surface pour faire quelques courses en me disant qu’il est heureux que le vendredi ce genre de magasin ferme à 20h00. Je descend au deuxième sous sol du parking et stationne ma voiture dans le fond pour avoir moins de manœuvre à effectuer puis me dirige vers l’ascenseur qui me mènera directement dans le magasin. Comme d’habite je suis habillée de manière très sexy, une jupe bien courte, des bas autoportants, des hauts talons et un chemisier bien provoquant. Cette tenue n’échappe d’ailleurs pas aux hommes qui se trouvent encore dans les allées. je sens très bien leurs regards se poser sur mon corps et je lis dans leurs yeux tout un tas de cochonneries qui leurs traversent l’esprit. Je n’hésite pas à me montrer provocante a chaque fois que j’en ai l’occasion. Je termine mes courses alors qu’une voix annonce la fermeture imminente. Je passe à la caisse assez rapidement car a cette heure et contrairement a mon arrivée, il n’y a maintenant presque plus personne. Je règle ma note et descend avec ma charrette dans le parking ou il n’y a plus que ma voiture. J’ouvre le coffre et commence a y placer les différentes marchandises que j’ai acheter.
Quelques mètres plus loin, tapis dans l’ombre, un homme m’observe vicieusement. D’où il se trouve, il peut voir quand je me baisse dans son coffre, la limite de mes bas et même une partie de mon cul. Ce type qui m’a suivie discrètement dans les rayons du magasin puis ensuite jusqu'à ma voiture bande certainement comme un âne en m’observant. A pas de loup, il s’approche de moi et quand je me trouve a sa portée, il pose une main sur mon cul. Un peu surprise, je me redresse et me tourne d’un coup vers l’inconnu. Il est grand, plutôt costaud, de type magrébin, cheveux court, yeux noirs. Il me regarde avec insistance dans les yeux puis les baisse vers mes seins.
Je ne panique pas le moins du monde en prenant la parole :
- - « Je peux savoir ce que vous désirez ? »
- - « Je veux te baiser. »
- - « Comme ça, sans faire les présentation ? »
- - « Avec les tenues de pute que tu porte, c’est tout ce que tu cherche non ? »
Je suis toujours très excitée par ce genre de discourt et de déclaration et cette fois ci, je ne déroge pas à la règle. Je sens mon sexe qui commence à mouiller de plus en plus quand cet homme pose une main sur mon sein droit. Le tissus est tellement léger que je sens très bien la chaleur de la paume de cet inconnu sur mon seins nu sous le chemisier comme souvent.
- « Tu es à poil sous ta blouse salope. » - - « Comme toujours. »
- «Et sous ta jupe aussi?»
Alliant le geste a la parole, il glisse sa main sous ma jupe - - « Espèce de petite pute, tu n’as rien sous ta jupe. »
Je lui souris et adopte un regard des plus coquin avant de m’abaissée et de dégagé la pine tendue de cet étranger qui me regarde médusé que les choses se passe ainsi. Lui qui imaginait devoir utilité la force pour me faire entendre raison, le voila bien surpris par ma réaction. A peine le sexe du gars est il sortit de son antre que je le prend dans ma bouche pour entamer une fellation dont j’ai le secret. Le mec n’en peut plus, il sent qu’il va jouir très vite mais il ne veut pas, il est là pour me baiser et il compte bien le faire même si je pensais pouvoir éviter ça en le faisant jouir avec ma bouche de suceuse. Soudain, il m’attrape par les cheveux et me redresse en disant :
- « J’ai dit que je voulais te baisée sale pute. »
Brutalement, il me retourne et m’enfonce la tête dans le coffre. Je repose maintenant avec le ventre sur le bord de celui-ci. L’inconnu gémis, souffle, grogne. Il remonte ma jupe pour découvrir mon cul qu’il touche et pétris avec fermeté.
- « Tu vas voir ce que tu vas prendre espèce de salope. »
Je ne répond pas mais je suis hyper excitée par ce traitement sans ménagement. je sens le sexe de l’inconnu se positionné à l’entrée de ma chatte, dans la position que j’adopte sans l’avoir nécessairement choisie, je sais que son sexe est à la hauteur idéal pour une bonne pénétration en profondeur. D’un coup sec ce mec m’enfonce la bite profondément en moi, je ne peux m’empêcher de gémir brouillemment.
- « Tu aime ça salope ? »
Il me prend par les cheveux tout en me posant la question et comme je ne répond pas , il répète :
- - « Alors pouffiasse, je t’ai demandé si tu aimais ça ? »
- - « hummmmmm ouiiiiiiiiii c’est bon. »
Quand il entend la manière dont je lui répond, il se sent encore plus excité, il se redresse un peu plus, empoigne mes hanches de et commence a me limé rapidement et brutalement. Ces coups de reins sont de plus en plus rapide, de plus en plus fort. Le rebord du coffre me fait mal au ventre mais mon excitation et ma jouissance est trop grande que pour m’en plaindre. Ca ne dure pas longtemps avant que je ne sente mon baiseur inconnu ressortir de ma chatte détrempée et que je ne sente ensuite des jets tièdes venir s’écraser contre mes fesses nue sous des râles et des grognements de jouissances. Quand je reprend un peu mes esprits que j’avait légèrement perdu suite a une pénétration et une jouissance aussi brutale et que je me redresse, le ventre rougis par le frottement contre le rebord du coffre de ma voiture, l’étranger n’était plus là. je suis seule, la jupe relevée sur les hanches et les fesses couvertes de foutre. Je m’ajuste doucement puis remonte dans ma voiture épuisée.
De retours chez moi, je suis soulagée de voir que mon mari n’est pas encore rentré, je pourrai prendre une douche et enlevé toute trace de sperme de mon cul avant que mon homme n’y mette la main.
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L'achat d'une voiture ancienne
Le 21/04/2022
Un collègue, Jean, est amateur de voiture ancienne, surtout les petites deux place du genre MG. Il en avait vu une à vendre et avait été l’essayée. Lors de cet essais, Jean avait pu constater que le vendeur, un homme bedonnant d’une septantaine d’année était très porté sur la gente féminine. En effet, pendant la petite balade qu’il avait fais ensemble, le vendeur n’avait cessé de faire des commentaires à chaque fois qu’il voyait une femme sur le trottoir. mon collègue s’est alors dit qu’il serait bon de se faire accompagné d’une femme pour négocier l’achat de cette voiture.
Samedi vers 10h00 du matin, Jean arrive chez le vendeur en ma compagnie. Bien sur, étant au courant du subterfuge, j’ai veillé à ce que ma tenue vestimentaire ne laisse pas indifférent le propriétaire de la voiture. Dès notre arrivée, je constate que je produis l’effet prévu. En effet, les compliments n’ont pas tardé lorsque Jean m’a présentée et les regards du vendeur étaient déjà très appuyés.
- - « Mon amie voudrait pouvoir essayer la voiture ? »
- - « Vous savez que je ne laisse personne partir avec la voiture alors si elle veut l’essayer, je l’accompagne. »
je regarde alors le vieux monsieur bedonnant et lui dit :
- « Ou est le problème, mon ami nous attendra ici. »
Je monte dans la voiture assez basse et ma jupe déjà très courte remonte encore au dessus de la limite de mes bas autos portant. Lorsque le vendeur monte a son tour dans la voiture, la vue que je lui offre ne lui échappe pas et il me matte sans vergogne tel un vieux cochon. Mon chemisier est largement ouvert et je sais que de la ou il se trouve, il peut aussi apercevoir le galbe de mes seins nu. Je sais que je fais de l’effet au vieux porc qui m’accompagne et ça m’excite. Pendant les deux ou trois premiers kilomètres, le vieil homme ne manque pas une occasion de faire une allusion cochonne et ses yeux restent braqués sur moi sans arrêt. Ensuite, il s’enhardi et pose une main sur ma jambe et je ne réagis pas, je le laisse faire. Il me caresse et monte de plus en plus haut avec sa main.
- - « Alors, ça te plait de me pelotée vieux cochon ? »
- - « Oui et je sens que toi, tu es une petite salope. »
Il prononce cette phrase en découvrant que je ne porte pas le moindre sous vêtement sous ma mini jupe. Sa main monte alors encore plus haut pour arriver a mon sexe dans le quel il fait entrer deux doigts. Maintenant, il me trifouille avec beaucoup d’agilité et d’expérience. Pendant ce temps, il est penché et a presque la tête dans mes nibards. Il est tellement assidu et excité par ce qu’il fait que le vendeur ne se rend même pas compte qua nous sommes revenus à notre point de départ. La voiture arrêtée, mon collègue regarde par la fenêtre ce qui se passe à l’intérieur de l’habitacle. Quand le vieil homme tout en sueur s’en rend compte, il s’arrête, extrêmement mal à l’aise et sort de la voiture sans savoir que dire. C’est le collègue qui prend la parole pour le soulager en disant : - - « Alors, elle vous plait ma salope de copine ? »
- - « Ho putain oui, elle est vraiment bonne. »
Sachant qu’il faut jouer mon rôle de couple à fond, je sors de la voiture, m’approche de Jean et je lui roule une pelle d’enfer tout en posant ma main sur sa queue pour la caresser un peu. Le vieux vendeur regarde la scène envieux et n’en rate pas une miette. Je dis alors à mon compagnon pour quelques heures : - - « J’adore cette voiture, elle est géniale, on l’achète ? »
- - « Je voudrais bien te faire plaisir chérie mais monsieur en demande un peu beaucoup. »
Je me tourne vers le vendeur et lui lance un regard de véritable salope vicieuse ce qui trouble le vieil homme au plus haut point.
- « On peut peut-être s’arranger, suivez moi. »
Jean et moi le suivant dans la maison et on s’installe dans un vieux canapé en tissus usé. Le vieux monsieur s’installe juste en face de nous et Jean prend la parole :
- - « Vous avez dit que nous pourrions peut-être nous arranger ? »
- - « Vous savez, j’ai septante ans et depuis toujours, j’aime lécher les chattes des femmes. Malheureusement, à mon âge les occasions se font tellement rares. » En entendant ces paroles, je n’hésite pas une seule seconde, j’ouvre largement les cuisses sous les yeux ébahi de mon collègue.
- « Alors vient me lécher puisque c’est ce que tu veux vieux porc. »
Le vendeur se précipite avec une agilité surprenante pour son âge en bas de son fauteuil et se retrouve très vite à genoux, la tête plongée entre mes cuisses. Pendant que l’un faisait minette, l’autre, Jean passe ses mains dans mon chemisier pour me tripoter les seins. Je mouillais comme une folle de me faire lécher de la sorte par un gros porc pendant que mon collègue me pelote. Profitant de la situation, Jean sort sa queue et la colle sans ménagement dans ma bouche et je ne peut rien faire d’autre que de me laisser faire. Aucun mouvement n’est possible pour moi alors c’est Jean qui fait lui-même les mouvements de vas et vient, qui baise ma bouche en disant :
- « Suce salope. »
Ces paroles ont pour effet de faire lever la tête du vendeur qui voit que j’ai une bite dans la bouche. Une excitation hors norme s’empare de lui car c’est la première fois qu’il lèche une femme pendant que celle-ci suce la queue d’un autre homme alors il s’écrie :
- « Quelle petite pute. »
Il se redresse et sort sa queue fripée de son pantalon pour se branler rapidement. J’en profite pour changer de position de manière à pouvoir sucer mon collègue avec application devant les yeux du vieux porc tout excité. Après quelques minutes de fellations en jetant de temps à autres un regard vicieux vers le vieil homme, Jean jouit dans ma bouche. Il décharge tellement que je me demande depuis quand il ne s’est plus vidé les couilles. Le sperme coule le long de mes lèvres et de mon menton pourtant je tente d’en avaler le plus possible mais la quantité est vraiment trop grande. Quand je me tourne vers le vendeur la bouche engluée, celui-ci décharge aussi mais beaucoup moins. Juste une petite coulée le long de sa pine mais je vois dans ces yeux qu’il prend son pied.
L’affaire s’est conclue dans une bonne ambiance et les deux parties ont trouvé leur bonheur. J’ai quand même avoué au vieux monsieur que Jean n’est qu’un collègue. Il s’en fou, il a vécu un moment inoubliable et il ne regrette rien.
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La petite robe dans la vitrine (histoire vécue)
Le 10/04/2022
Même si j’ai reçu comme prime une flopée de nouvelles tenues trois jours auparavant, quand je passe devant cette boutique, je ne peux m’empêcher d’y entrer pour essayer cette robe blanche exposée dans la vitrine. Il faut dire que la saison approche pour exposé cette robe semble t il, c’est certainement pour cela que j’ai eu l’attention attirée. C’est une longue robe blanche totalement boutonnée sur le devant, une vraie robe d’été. Toujours est il que même si ce n’est pas le moment, j’entre dans la boutique pour au moins l’enfilée et voir si elle me va bien.
Il n’y a personne dans la boutique quand j’y entre sauf bien sur la vendeuse qui est occupée à faire un peu de rangement. C’est une femme de 25 ans mince assez petite et aux longs cheveux blonds et lisses. Elle est finement maquillée et vêtue d’une jupe relativement courte et d’un chemisier. Quand elle me voit, elle s’approche de moi :
- - « Bonjour madame, puis je vous aidée ? »
- - « Je voudrais essayer cette robe en vitrine s’il vous plait. »
Après m'avoir détaillée, la jeune vendeuse part dans la réserve et revient avec dans sa main la robe convoitée. Elle me la donne en m’indiquant ou se trouve les cabines. Quand je me trouve isolée, je me déshabille totalement et enfile uniquement la robe, je n’ai rien d’autre sur moi quand je sors pour me regarder dans la lumière de la boutique. La vendeuse vient vers moi et m’attire un peu plus loin avant de se reculer pour me regarder. Je remarque dans le miroir qui se trouve derrière la jeune vendeuse que la robe est vraiment très transparente. On voit clairement mes formes au travers mais ce n’est pas pour me déplaire. La vendeuse s’approche de moi, s’accroupit pour tâter la robe et voir si la taille correspond parfaitement. Elle en profite pour me peloter négligemment. Comme je ne réagis pas négativement, les caresses se font de plus en plus pressantes et précise pour se rendre compte que je suis totalement nue sous cette robe. La jeune femme qui d’après son badge se prénomme Catherine m’oriente subtilement vers l’arrière boutique. En fait d’arrière boutique, il s’agit plutôt d’un petit bureau sur le quel il y a quelques catalogues et divers documents ainsi qu’une tasse. En fait cette pièce sert visiblement autant de bureau que de réfectoire voir même de lieu de stockage au vu des caisses disposées contre le mur de gauche. - - « Cette robe vous va à ravir. »
- - « Merci, je pense que je vais l’achetée. »
La jeune vendeuse pose les mains sur moi et détache la robe lentement bouton par bouton en commençant par celui du dessus. Le vêtement devient décolleté puis très décolleté avant de dévoilé totalement ma poitrine puis mon ventre et enfin mon sexe épilé. Quand elle est totalement détachée, Catherine s’accroupis et avec son doigt commence à titiller mes parties intime alors je m’assied sur la table qui se trouve derrière moi. J’ouvre largement les cuisses pour facilité le passage aux mains de la vendeuse qui plonge la tête entre mes jambes. Sa langue s’insinue entre mes lèvres humides ce qui me fait gémir. Catherine m'aspire doucement le clito qu’elle suçote délicatement en fourrant un doigt dans mon sexe de plus en plus trempé. Il glisse tellement facilement qu’elle en met un deuxième puis un troisième qu’elle agite de plus en plus rapidement. Je suis à la limite de la jouissance alors elle se redresse et inverse sans peine les positions. C’est maintenant la vendeuse qui se trouve sur le bureau et c’est moi qui après lui avoir retiré sa culotte ai le visage plongé entre ces cuisses. Je lui écarte les lèvres avec les mains et lui fourre la langue le plus loin possible dans la chatte. Catherine gémit très fort alors je me redresse et lui fourre deux doigts dans la foufoune. Je suis maintenant debout devant la jeune vendeuse occupée à la masturbée d’une main en la regardant dans les yeux et en lui fourrant deux doigts de l’autre main dans la bouche. Je m’agite frénétiquement pour la faire jouir jusqu'à ce que cette fois, Catherine se dégage. Je comprend que c’est un jeu de soumission qui se met en place, qui dominera l’autre, qui sera la maitresse de l’autre ?
Tout naturellement, ça devrait être moi car je suis dans la vie plutôt soumise avec mes amants ou maitresse mais cela s’instaure naturellement, ici, il y a combat, lutte pour le titre et c’est un jeu auquel j’aime aussi jouer mais le tout est toujours de savoir jusqu’ou on peut aller sans connaître sa partenaire comme c’est le cas aujourd’hui. Catherine se redresse, m’attrape par les cheveux pour se dégager de mon emprise puis approche ses lèvres et me roule une pelle en me fourrant à nouveau un doigt sans ménagement. Je mouille comme une fontaine, ce petit jeu m’excite de plus en plus et j’ai envie de gagner. Je commence à comprendre que la vendeuse a la même philosophie que moi, ça doit aussi être une femme assez soumise dans la vie mais qui aime jouer. Nos baisers sont longs et chauds, nos salives se mélangent. On se doigte maintenant toute les deux en s’embrassant. nos souffles s’accélèrent, on va jouir à l’unisson. Après ce combat sexuel qui se termine par un match nulle, je me positionne pour pouvoir vraiment jouir ensemble. La position du 69 sur le sol est parfaite pour cela. C’est moi qui m’installe sur le dos et Catherine par dessus. on se lèche toute les deux, on se met trois doigts et on les agite de plus en plus frénétiquement pour se faire jouir l’une l’autre. Il ne faut pas attendre longtemps avant que dans un gémissement commun, on ne s’affale, comblée par l’intensité du moment qu’on vient de vivre ensemble.
Avant de quitter la boutique avec la robe soigneusement emballée dans un sachet sous le bras, je laisse mon numéro de portable à Catherine, on ne sait jamais ce que l’avenir nous réserve. Le vendeuse a quand même pris soin de me précisé qu’elle n’est pas bi et que les hommes ne l’attirent pas du tout. Il n’y a qu’avec les femmes qu’elle prend son pied.
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