femme-infidele
J'aime etre féminine
Le 11/01/2024
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Petite balade dans le parc
Le 10/01/2024
En raison de mon congé de lundi, j’arrive très tôt au boulot le mardi car je pensais bien avoir du boulot en retard. J’arrive dans mon bureau à 6h00, ouvre mon ordinateur mais constate que contrairement à ce que je pensais, la journée de lundi avait été calme et aucune demande des entreprises pour les quelle je travail dans l’immeuble n’était urgente si bien qu’une demi-heure plus tard, j’ avais déjà du temps libre en attendant l’ouverture des bureaux. En voyant le beau soleil matinal qui se lève, je décide d’aller faire une petite balade dans le parc qui se trouve à quelques centaines de mètres de mon boulot. J’ arrive dans ce petit coin de verdure en pleine ville et même si ma tenue n’est pas vraiment prévue pour une balade en raison de mes hauts talons principalement, je décide quand même de me promener dans les allées qui s’engouffrent parmi les arbres. Je prends un petit sentier ombragé et en raison de la brise du matin, on voit parfaitement pointer mes seins au travers du tissu très fin de mon chemisier. Pendant ma petite promenade, je vois s’approcher devant moi un homme qui fait son jogging. Il est assez grand, vêtu d’un petit short et torse nu. Il est assez musclé et me fait un peu penser dans sa morphologie à l’ouvrier qui travaillait dans mon jardin la veille sauf que celui-ci était blanc et un peu plus âgé. En passant à côté de moi, il me salue d’un grand sourire que je lui retourne gentiment. Quelques minutes plus tard, des pas de courses se font à nouveau entendre derrière moi. C’est à nouveau le même homme mais cette fois il s’arrête à ma hauteur pour s’adresser à moi :
- « Bonjours mademoiselle, que faites vous dans le parc aussi tôt, je ne vous y ai jamais vu pourtant, je viens courir tout les jours. »
Cette approche de drague bien classique ne me surprend pas du tout, j’en a l’habitude alors instinctivement, je lui répond quelque chose que je n’avait pas préparé et qui quelque part m’a un peu surprise moi-même :
- « En réalité, j’avais rendez vous avec un copain pour qu’il me baise dans les bois mais il n’est pas là. »
Le joggeur un peu surpris par cette réponse devient tout rouge et met quelques secondes avant de reprendre ses esprit alors contre toute attente il me répond sans trop de conviction :
- « Je peux peut-être le remplacer si vous le désirez ? »
Sans dire un mot, je quitte le sentier et vais m’appuyer contre un arbre avant de lui faire signe de venir vers moi. Quand il s’approche, je vois qu’il est déjà en érection alors je m’accroupis devant lui et tire sur l’élastique de son petit short pour en sortir sa queue tendue que je porte immédiatement à ma bouche. Je le suce doucement avant de ressortir sa queue de ma bouche et de faire tourner ma langue autour de son gland rougis par le désir. Quand je me retire, de petit fil de salive s’étire de la tige tendu jusqu'à mes lèvres mouillées comme des toiles d’araignées couverte de rosée. J’engouffre ensuite de nouveau toute cette pine dans ma bouche dans un bruit de sucions humide. Le coureur me redresse doucement en me prenant par les bras puis approche son visage du mien avant de poser un doux baiser sur mes lèvres. Il s’ensuit un échange de caresses entre nos deux langues de plus en plus avides. Les bouches sont collées l’une à l’autre et les visages se penchent alternativement sur la gauche puis sur la droite. D’une main il tripote mes seins tandis que l’autre main s’occupe de mon cul qu’il pelote sans la moindre retenue pendant que je le branle
délicatement. Son gros sexe tient parfaitement dans la paume de ma main et j’ai de plus en plus envie de la sentir ailleurs que dans ma main. Il profite d’un instant d’inspiration pour me dire :
- « Tu es vraiment bonne et tu m’excite. »
je sais qu’il est excité, je le sens, j’ ai quand même un peu d’expérience dans le domaine et je sais ce que ressentent les hommes quand je m’occupe d’eux. Je me retourne, prend appuis sur l’arbre et me cambre au maximum. Je sens la colonne de chaire chaude se présenter à l’entrée de ma chatte trempée puis la pénétrer lentement. Centimètre par centimètre, je sens le sexe tendu de cet homme entrer en moi. Je préfère plus de brutalité voir même de violence mais je me contente de ce qu’on m’offre surtout quand c’est inattendu comme ce matin. Le joggeur me lime de plus en plus vite en me répétant sans cesse que je suis bonne. Je sens la jouissance monter alors j’ accélère moi-même et imprime le rythme en bougeant mon bassin d’avant en arrière. Je sens que l’éjaculation de mon amant est proche alors dans un mouvement vers l’avant plus ample, je l’oblige à sortir. Je me retourne face à lui, m’abaisse très vite en ouvrant la bouche et en me léchant les lèvres pour qu’il comprenne que je veux qu’il jouisse sur mon visage et dans ma bouche. La queue à la main il me regarde dans les yeux en se branlant pour se finir. Il ne faut pas plus d’un ou deux vas et vient avant qu’un premier jet ne vienne s’écraser sur mon visage. Les jets suivant moins puissant tombent sur mes lèvres et dans ma bouche. Je me délecte de ce merveilleux nectar que j’ apprécie vraiment. Je répète souvent qu’aucun sperme n’a le même goût. Il n’y a qu’a mon mari, évidement que je ne tiens pas ce genre de discourt. Le type frotte bien sa queue sur mon visage avant que je ne me redresse et ne prenne un mouchoir dans mon sac pour me nettoyer le visage. Pendant ce temps, l’homme me demande :
- « Tu fais ca souvent ? »
Je me contente de lui sourire en ajustant ma tenue. Je lui donne un baiser sur les lèvres et juste avant de partir lui dit :
- « Je dois y aller maintenant, je vais être en retard pour le boulot. »
Le type me regarde m’éloignée et quitter le parc. Il n’a pas eu de réponse à sa question mais il venait de vivre, peut être, un véritable rêve.
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En Bonne compagnie
Le 09/01/2024
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Des visiteurs mais pas de commentaires
Le 07/01/2024
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le foot
Le 06/01/2024
Le football, voila un sport qui est autant capable de rapprocher les gens que de les diviser. Je ne suis pas une fan de ce sport même si parfois je le regarde à la télé ou encore me rend au stade avec Patric quand il y est invité.
Ce week-end, je suis seule car mon mari est parti pour son travail pendant quelques jours en Espagne. Chacun son tour, parfois c’est moi qui m’en vais pour m’occuper de l’organisation de certain voyage d’entreprise, parfois comme cette fois ci, c’est mon homme qui part à l’étranger pour travailler. je m’était plein à un de mes collègues la veille d’être seule pour un samedi soir en lui disant que je n’avais pas vraiment envie de sortir alors celui-ci m’ avais proposé de venir passer la soirée chez lui. Même si c’était pour voir un match de foot à la télé avec deux autres copains, au moins je ne serais pas seule.J’ avais accepté faute d’autre chose et m’étais même proposée d’apporter quelques petits amuses bouches.
Pendant une partie de la journée, je prépare des petits toasts maison et différentes petites bouchées pour passer la soirée en compagnie de ces trois fans de foot. Je décide de faire attention à ne pas être trop provocante pour qu’ils passent plus de temps à regarder le match qu’a me mater et à avoir des envies cochonnes. Je connaîs les hommes mieux que personne. Je décide malgré tout de mettre une mini jupe mi cuisses et un top décolleté mais raisonnablement même si on voit le galbe de mes seins. Ce qui est sage pour moi serait déjà extrêmement sexy pour beaucoup d’autre femme. Il faut aussi avouer que je ne savais pas si je serais la seule présence féminine a cette soirée alors même si j’aime provoquer les autres femmes, pour ce soir, il valait mieux la jouer relativement cool.
Quand je sonne à la porte, c’est Ivan, le collègue qui m’avait invitée qui vient m’ouvrir. Il me regarde de la tête aux pieds et me complimente sur ma tenue ce qui me fait penser que tout compte fait, je ne dois pas être si sobre que cela. Il me fait entrer dans le salon et présente André et Jaques, deux copains venu voir le foot eux aussi.
- - « Tu seras la seule femme présente, j’espère que ca ne te dérange pas ? »
- - « Pas du tout, j’ai d’ailleurs préparé deux ou trois choses à grignoter. »
Je tend un sachet à Ivan qui part dans la cuisine pour disposer ce qu’il y a à l’intérieur sur des assiettes avant de tout apporter à table sous les commentaires de satisfaction des deux copains visiblement amateur de bonne chaire.
Avant que le match ne commence les hommes parlent foot en me demandant de temps à autre mon avis. Je me rend compte que mon opinions les importe peut mais que c’est un prétexte pour tourner leur regard vers moi et pouvoir me mater sans retenue. Pendant le match, je les observe et je constate qu’ils me regardent chacun leurs tours régulièrement et ne me laissent jamais sans une petite attention. Voila qui me réjouis car j’aime plaire avant tout et je constate que même soft à mes propre yeux, j’attire l’attention.
A la mi-temps je m’adresse au maître de maison pour lui demander ou sont les toilettes. Il se lève et me demande de le suivre, qu’il va me montrer ou elle se trouve. Les WC se trouvent à l’étage et mon envie était bien autre que de m’y rendre. j’étais été assez excitée par toutes ces attentions envers moi et quelques réflexions coquines. Lorsque je me trouve dans le hall de nuit en compagnie d’Ivan qui me montre le petit endroit, je pointe le doigt vers une autre porte :
- « Et derrière cette porte ? »
- « C’est ma chambre. »
Sans dire un mot, j’avance et l’ouvre pour y entrer. C’est une grande chambre avec un mobilier et une décoration très moderne. Ce qui m’étonne, c’est l’ordre qui règne dans cette pièce. Souvent les chambres de célibataires sont assez bordéliques mais ici ce n’est pas du tout le cas. Au centre de la pièce, il y a un grand lit recouvert d’une couverture de couleur assez vive. Je m’en approche puis m’y installe à genoux, le cul tourné vers mon collègue qui m’observe sans rien dire. je tortille un peu du cul avant de prendre ma jupe d’une main et de la remonter lentement le long de mes fesses. Le tissu sur cette partie de mon anatomie me prodiguait une caresse particulière qui augmentait encore mon excitation. J’entend un petit « ouf » d’excitation quand ma jupe est suffisamment remonté haut et que Ivan peut remarquer que je ne porte pas le moindre sous vêtement. C’est ce moment précis que je choisis pour lui dire :
- « Baise-moi. »
L’homme s’approche de moi et pose ces mains sur mon cul et il me caresse et me malaxe les fesses avec excitation alors je répète :
- « Baise-moi. »
En réalité, depuis mon arrivée, j’avais envie de me faire mettre et j’ étais même maintenant persuadée qu’en acceptant l’invitation, j’avais déjà inconsciemment envie de me faire baisée.
Ivan défait son pantalon et amène son gland à l’entrée de mon sexe avant de me pénétrée lentement, centimètre par centimètre. Je le sens s’insinuer en moi doucement et profite de chaque seconde de plaisir. Quand il est bien au fond, il se retire toujours aussi lentement avant d’y retourner mais cette fois plus vite et plus vigoureusement. La vitesse à la quelle il me lime s’accélère de plus en plus inspiré par l’excitation qui grandit a chaque coup de queue qu’il donne. Je le sens de plus en plus chaud, il va de plus en plus loin, il me baise de plus en plus profondément et c’est ce que j’aime. Il souffle, il gémit puis d’un coup se retire et éjacule sur mon derrière offert.Je sens couler ce liquide chaud par saccades. Je l’étale d’une main sur mes fesses comme une huile bienfaisante.
Quand je me retourne enfin, je vois Jaques et André adossés au mur. Ils venaient de se branler et de jouir en me regardant me faire défoncée par leur copain.
Je me redresse et tire sur ma jupe sans m’occupé du foutre étalé sur mon postérieur puis me place devant Ivan pour lui rouler une pelle d’enfer. Je m’approche ensuite de ces deux copains footeux, pose chacune de mes mains sur leurs couilles respective et les tripotent en les embrassant à pleine bouche à tour de rôle. mes lèvres se posent sur celle d’André avant que ma langue ne pénètre la bouche de cet homme puis je fais de même avec Jaques en gardant bien leurs burnes dans mes mains. Ivan m’observe embrasser ses deux potes en leur palpant les parties intimes. Il se certainement dit que sa collègue est vraiment une belle salope.
Quand je remonte dans ma voiture après avoir quitté les trois hommes pour les laisser regarder en paix le fin de la deuxième mi-temps, je me dis que j’aurais peut-être du rester pour les refaire bander et qu’ils me baisent ensemble. Ce sera pour une autre fois certainement. Maintenant, il est l’heure de rentrer car Patric risque de téléphoner et il serait dommage qu’il le fasse pendant que je me fait prendre.
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